Votez pour nous1234
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart
4 participants
Invité
Invité
Sam 24 Sep - 22:35Sujet: Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart
Anonymous

Informations

" So don't run they're not so tough stand your ground You're not so soft"
Jules-Augustin
Terre
Capricorne
NomAmbroise
Âge23 années
GenreCis-masc
Or. sexuelle Bisexuel
Métier/PosteDirecteur de son Hôtel, l'Ambroise
Date de naissance19.01


statisForce brute (7)
Constitution (5)
tiquesMaîtrise (2)
Dextérité (3)


175 . 65 kg . Les prunelles minuits, les reflets acerbes . Les mèches châtains qui se bouclent sur le sommet du crâne, s'éclatent sur le rebord des tempes jusque l'arrière de la nuque, toujours impeccables le matin, rarement après neuf heures . Fume des roulées, au moins une dans la journée . La carrure légère, angueleuse et étroite . Les os saillants et la peau douce . L'odeur de la cannelle jusqu'au cou, le sucrée comme maître-mot . Crache son traitement pour la bipolarité dans les pots d'fleurs et évite à tout prix son psychiatre . Fâcheuse tendance à toucher les autres, les doigts qui glissent des épaules jusqu'aux clavicules . Le piano et la guitare par cœur, s'adonne à la harpe et au violon pour faire pâlir les vieux apôtres qu'il est bien plus qu'un incapable capable de rien . Les mots abrupts, la tête dans l'bitume et le sourire grenat . L'Ambroise est une chaîne d'hôtel huppée qui appartient à son père, il possède le second qui vient à peine d'ouvrir dans le quartier d'Helios Starke . Connu dans les bars miteux et les recoins sordides, toujours à provoquer et à bifurquer . Les ecchymoses comme des parures de diamants . Ni piercings ni tatouages, Augustin phobique des longues aiguilles comme des courtes . Des lunettes pour le style, jamais les mêmes . Les chemises en lin et les pantalons trop larges pour les hanches, se plaît des incommodités, la rage sur le visage du paternel . Amoureux de Dyomyre, passe son temps à le clamer haut et fort, à lui susurrer dans l'oreille . Jules adore les gloses, petite passion intime .
MentalÉriger le parfait sans parvenir à le rendre céleste. Le parfait aussi démoli que les ruines des vieux temps, Jules sans Augustin, peut-être plus parfait avec Auguste.
Il a les mains qui tremblent et les épaules qui basculent, le vermeil abrasif du cœur sur la gueule, l'air étreint du victorieux sans avoir eu a briser les nuques et la foi.
Jules sans Augustin, levé à la grandeur des Augustes pourtant, la foi sous l'bras et la couronne par dessus l'crâne, Augustin plus que Jules, l'auguste sans la victoire, le pathétique de la défaite badigeonné en caricature sur la gueule, Jules-Augustin défaitiste à en faire pâlir les sordides du macabre, Jules-Augustin dont le destin scellé en pièce argenté, finira dans l'caniveau à prier les Grands d'en faire un martyr.

Instable, insatiable, corrode les silhouettes à force de trop s'en imprégner. Jules qui n'a jamais su mettre les limites, l'irréparable toujours sur l'bout des doigts, incapable de repousser les autres, s'entiche des âmes jusqu'à les faire crever, jusqu'à n'en plus vouloir, jusqu'à ne plus les voir. Comme si ça ne l'avait jamais heurté de voir les mirettes diaphanes s'habiller des cristaux clairs sans jamais se pâmer de la félicité.
L'empathie manque cruellement comme si ça n'avait jamais été appris, comme si c'était bloqué dans un coin d'la tête, qu'un jour en creusant bien, Augustin finirait par pleurer les noyaux rougeâtres qu'il a martelé de ses mains.
Le contact encore plus fiévreux que les gamins teigneux, les paumes qui n'ont de cesse de se heurter contre les autres, les poitrails de se retrouver et les embrassades sans jamais se défaire.
La facilité pestilentielle à faire culpabiliser les autres, sans vraiment le vouloir dans l'fond. À faire peser la misère du monde sur ses épaules, comme si l'monde pouvait pas le comprendre, le pourrait jamais.
La vie résolue qu'autour d'une unique personne, fidèle à elle-seule, pas même les plus Grands pourraient l'en détourner, plutôt en mourir qu'un jour ne jamais la revoir. Jules qui n'a pas suffisamment de place dans l'poitrail pour accueillir les autres, des amis à foison qui n'auront pourtant jamais la place que Dyomyre creuse dans les sillons que fait le cœur, là où ça pompe plus rapidement lorsqu'elle lui passe sous l'nez.

Jules un peu cassant, Jules jamais l'amant. Jules un peu seul dans l'fond, la sensation de se noyer dans ses propres émois qu'il évacue sans la moindre parcimonie.
Jules qui ne va jamais bien longtemps, Jules qui a la sensation de couler au fond des abysses, le destin bariolé des aigreurs des non-dit et du jamais réalisé.
Sous l'euphorique du maniaque qu'il apprécie tant, à se sentir plus vivant que jamais, Jules crache les médicaments laiteux et s'adonne au mirobolant du monde sans se soucier des jours creux à vivre, de ceux qui vont lui tordre l'estomac et ternir l'exaltation qui pourtant, semblait intombable, à s'brûler le corps entier contre le Soleil, semblable à Icare sans les ailes pour s'casser de ce merdier.

Pas foncièrement méchant malgré le fait qu'il aime montrer ses préférences, Jules-Augustin pourtant apprécié autant que détesté, fait chavirer les cœurs et les œillades, le cynique en manteau de fortune et l'humour jamais froissant.
Jules se plaît à entendre les autres parler de ce qu'ils aiment et détestent, un peu incertain quant à ce que lui aime ou n'aime pas, alors il s'inspire, retient et apprend. Jules un peu naïf dans l'fond, Jules trop impressionnable par les plus costauds et les plus forts, malléable et facile à briser sous la langue.
Le besoin d'être validé, par papa, par maman, par Dyomyre, par les autres, parle le monde et même les moins que rien. Jules qui ne fait jamais vraiment rien pour lui, plus pour les autres.

Collant . Solitaire . Anxieux . Amoureux transi . Anxiogène . Caustique . Naïf . Prompt . Impatient tout en étant patient . Girouette . Affectueux . Petite labrador energy . Imprévisible


You're looking too hard for something that isn't there pull yourself out you're overthinking what this is about
Histoire

Le grisâtre des monotonies du passé, parure farouche sur le dos et les doigts brisés à s'enfoncer sous le plexus, à s'arracher le cœur des colères et des chagrins.

Encore lui, l'gamin trop anxiogène, les mains tendues, les paumes garnies de la glaise et de l'obéissance fleurissante, Viktor à cheval sur la bienséance et l'honneur, jamais l'ton du fils  devra être affriolant et plus haut que le sien, jamais les yeux perfides s'élèveront pour défier l'autorité du Grand moins grand que les plus GRANDS. Pas une fois on ne prendra Jules-Augustin à ouvrir le bec pour se plaindre des inconvenances, dans la sujétion la plus totale qu'impose le paternel, la maternelle et les nourrices qui viendront démêler les boucles emmêlées de la colère sur les épaules.

Le silence dans la chambre, le silence qui ne s'étiole jamais, le silence comme un bruit assourdissant de fond, celui qui ne cesse jamais de s'étendre entre les parois du crâne, ronge et dévore, creuse et martèle, le cercueil déjà affranchi.
L'enfance meurtrie à danser sous les fils dorés du destin, fièrement préparé par le géniteur qui n'a de cesse de présenter l'marmot solitaire à ses collègues et les chicos, clamer haut et fort Qu'il va faire un excellent héritier pour les Ambroise, c'est un vrai génie.
Ça démange dans la tête, le silence glaçant le soir dans la chambre, la solitude exacerbée par dessus les épaules, les cours pourtant bruyantes, les amis comme des jolies parures, l'amour à foison et les mains jamais déliées.
Alors les ongles s'enlisent dans la chair souple du corps, incapable de savoir pourquoi le solitaire minuit dérobe toutes les pensées fluettes, l'ennui qui n'a de cesse de se revêtir autour des épaules.

Viktor trop pressant, Viktor trop asphyxiant, comme si c'était un truc familial, d'être aussi étouffant. Les gestes lourds sur la carrure frêle du gamin, les rafles sur les joues et les claques contre les mains lorsque les phalanges manquent les dents du piano, que le pouvoir n'est pas suffisamment fonctionnel mais qu'il fallait se rendre à l'évidence, Jules-Augustin incapable de correctement s'en servir, Viktor qui ne s'y est plus intéressé.
Usé et pourtant si radieux, les lippes toujours scellées aux tempes, les histoires d'Isabeau sont belles, entre les étoiles explosives, l'amour abrasif du soleil pour la lune, la mer mélancolique des reflets de son âme-sœur.
Maman qui n'a de cesse de parler de l'amour, comme d'un rêve trop doux pour exister, les émois éteints depuis des années maintenant pourtant si incandescents autrefois.

Jules-Augustin s'éloigne des sentiers princiers qu'on lui réserve entre quatorze et dix sept heures, Viktor jamais là et Isabeau trop occupée, les nourrisses dépassées et l'gamin qui se faufile entre les silhouettes, se glisse jusqu'aux égouts pour suivre les copains qui veulent que les viscères se tordent des sensations fortes.
Jules-Augustin s'en moque, il s'éloigne et laisse les mains immaculées se frotter contre le bitume dégueulasse, les yeux qui butent sur la silhouette maigrichonne d'une gamine un peu plus jeune.
Les pieds valdinguent et la carcasse s'amenuise à la suivre, le soubresaut du cœur, c'est sûr il est amoureux.
Elle s'appelle Dyomyre, elle a une grande famille et elle ne vit ni dans l'opulence ni dans le luxe. Cependant il entend les histoires mignardes des embrassades tendres et des parents qui glissent derrière les oreilles les mèches grasses.
Elle s'appelle Dyomyre et lui ne pourra plus revenir dans les bas fonds, la famille en colère, la peau rouge de la hargne et le cristallin en voix criarde.
Dyomyre elle a neuf ans, lui il en a onze et c'est comme si quelque part là haut, dans l'ciel nocturne, les étoiles s'étaient correctement alignées pour que les destins se croisent et se lient, forment une constellation rien que pour eux.
Ils s'amusent dans la demeure familiale à la place, la gamine du bas de la rue, maman y croit, les nourrices n'y voient pas d'inconvénients, Viktor lui, il le voit.

Les régalias brisés, disparus et l'épiderme se froisse des gifles et des remontrances, des punitions entêtantes dans la chambre.
Dyomyre elle n'est plus la bienvenue, Jules-Augustin pourtant toujours amoureux transi, fait du grabuge dans les parcs et dans les rues tout en lui serrant la poigne, l'accalmie brève dans l'crâne.

Les gamins grandissent, Jules-Augustin se sent bien malgré la pression fulgurante sur les épaules, il y a un brasier qui brûle sans cesse dans l'bide, les projets pleins la tête, les envies irrationnelles et le babillage intempestif.
Augustin il a quinze ans et ne va pas très bien. Jules il a quinze ans et Viktor n'y croit pas, aux symptômes que maman reconnaît dans les bras fébriles qui s'agitent, dans la voix sans symphonie qui vomit les paroles sans arrêt.
Jules-Augustin il a quinze ans et il a l'impression de voir son monde sombrer un peu plus, le flibuste sans son navire à nager à contre-courant dans les marées glacées.
Alors il esquive Dyomyre, le cœur trop lourd, la tête pleine du silence assourdissant, le vide pourtant rempli de l'angoisse et du chagrin, de la lassitude dans les mirettes jusque la faim éteinte dans l'bide.
Maman s'inquiète, Viktor enrage, bouscule le gamin, l'école qu'il ne doit pas rater pour ne pas faire partie des ratés, que ça va passer, c'est qu'un coup d'mou, ça arrive, même à lui. Puis y a les jumeaux qu'on annonce à Isabeau, Marcel & Valentin qu'on les appelle, ils vont bientôt naître, c'est inattendue, attendue, Jules dont le temps s'est cassé, iconoclaste à ne plus vouloir des Idoles qui ne peuvent rien pour lui. Parce que c'est de leur faute, s'il est là.  

Les années affluent, les jours s'entassent et titubent, c'est long de trouver le bon traitement, d'ajuster les doses, d'aller mieux.
Jules sans Augustin, l'Auguste brisé, Augustin plus que Jules, sans la couronne des rois maniaques, le gamin qui peut-enfin prétendre qu'il va mieux.
Viktor parle de la construction d'un autre hôtel à Helios Starke, qu'il est temps pour Jules de se reprendre en main, d'le rendre fier, d'arrêter fumer dans les bars miteux et d'se torcher comme les pochtrons d'la ville en bas.
Jules-Augustin depuis des années la voix qui se hausse et les yeux révolvers, défit l'autorité sans jamais pourtant la remettre en cause, sans jamais oser la renverser, pauv' chiot désabusé.
Marcel & Valentin grandissent, bref idylle dans les couloirs pompeux du manoir, les bras enroulés autour des chevilles du plus grand des Ambroise, les baisers sur l'sommet du crâne, Dyomyre toujours avec lui. La solitude pourtant creuse toujours les stries sous l'poitrail, enrobe le cœur de l'attachement néfaste qu'il éprouve pour Dyomyre, le besoin constant de la voir sans cesse, tous les jours, être sûr d'aller bien.

À ses vingt et un ans il peut enfin s'occuper d'son propre hôtel, d'rendre fier la famille après avoir travaillé au côté de Viktor pendant quatre ans, les tracas du métier dans les veines, les médicaments dans la manche, prêt à les vomir sous les pots graisseux et à servir les plus vaniteux de la ville. Jamais sans Dyomyre, jamais sans Augustin, l'Auguste qu'on doit réparer.
Et Marcel et Valentin toujours dans les pattes.
Naissance ― Enfant d'Isabeau et Viktor, né à Terra Forma dans le manoir près de l'hôtel, l'Ambroise
7 ans ― L'enfance approximativement paisible, Viktor un poil trop dur avec lui, l'incombe des tâches ingrates d'apprendre le solfège, le piano comme travail hebdomadaire, d'être toujours le premier à l'école, le dos droit et les yeux devant lui.
11 ans ― Jules-Augustin gamin apprécié malgré l'étouffement constant dans la maison, le crâne rempli du lugubre, il y a la lumière au bout du tunnel, Dyomyre entre les bras jusque dans le cœur, mélodie doucereuse. C'est juré jusque la mort, ils ne se laisseront jamais.
15 ans ― Jules est plus grand, Jules est plus expressif, il a les mains baladeuses et les yeux qui reluquent, l'attention qui s'étiole et le besoin constant qu'on le regarde, qu'on le voit. Il y aussi l'abrasif du vivant qui se joint à la solitude perfide, elle se meure tandis que lui renaît enfin. Les problèmes s'envolent, Isabeau s'inquiète. À raison, ça lui retombe vite sur le crâne, la joue calé dans l'oreiller satin, les pensées trop lourdes à supporter.
18 ans ― Ça met du temps mais Jules-Augustin à enfin un traitement stable, quelque chose pour modérer les humeurs fastidieuses, Dyomyre toujours sous le tas de chair et d'os qu'il promène dans toute la cité, le cœur brûlant de lui serrer la pince.
21 ans ― L'hôtel l'Ambroise de la chaîne Ambroise ouvre enfin à Helios Starke en plus d'être déjà implantée dans Terra Forma, Viktor veut qu'il lui prouve qu'il a grandi, qu'il a appris. Jules toujours l'nez dans les verres et les galaxies sur les côtes creusées, il affirme qu'il sera à la hauteur, le dédain victorieux peint de la colère, parce qu'il n'a b'soin de personne Jules pour réussir. Les médoc' crachés, parce qu'il veut se sentir en vie, qu'il va bien, c'est promis.
23 ans ― Il se charge aujourd'hui encore de l'Ambroise, Dyomyre sous l'influence de Viktor doit surveiller Jules-Augustin, qu'il prenne toujours ses médicaments et qu'il voit son psychiatre, veiller à ce que l'hôtel tourne correctement, qu'elle ne finisse pas dans l'caniveau avec le gamin incapable, que ce serait bête. Pourtant il vagabonde toujours entre les ruelles sombres, à s'cogner avec les plus costauds depuis des années, à anéantir le silence dans la tête.
Cancer
Allani Marquez
Cancer
Dim 25 Sep - 3:09Sujet: Re: Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart
Allani Marquez

Informations
Messages : 187
Points : 1088
Âge : 31 ans
Date de naissance : 23/06
Situation : Célibataire
Poste/Métier : Bras droit du cavalier de la Conquête
Rang de puissance : A
Domaine de pouvoir : Glace + Bois
Avatar : Fem!Mahito (jjk) + Freya Allan
Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart  7c2d4b6a711172dde2db0d962ed8faa8

Cette fiche m'a foutue une belle claque.
Alors que ce n'est qu'un début.
Qu'est que ça sera quand ça sera rempli ?

Dieu.
Merci d'être venue, quelle découverte ta plume!!
https://tempelhelm.forumactif.com/t125-valse-pour-le-paradis-allhttps://tempelhelm.forumactif.com/t132-allnimarquez#892
Sagittaire
Eden V. Carter
Sagittaire
Dim 25 Sep - 3:15Sujet: Re: Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart
Eden V. Carter

Informations
Messages : 59
Points : 302
Âge : 26 ans
Date de naissance : 4 décembre
Situation : Célibataire
Poste/Métier : Socialite
Rang de puissance : A
Domaine de pouvoir : 10%
Avatar : Evelynn - League of Legends | Sydney Sweeney (IRL)
Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart  Hh4f55sc4cg81

J'approuve le feat °-°
Tu me rappelles tellement de souvenirs, aled. Curious Tio
Scorpion
Aralia Grant
Scorpion
Dim 25 Sep - 17:30Sujet: Re: Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart
Aralia Grant

Informations
Messages : 67
Points : 529
Âge : 34 ans
Date de naissance : 3 novembre
Situation : Lazare officieusement, officiellement elle a un plan
Poste/Métier : Copine de Mordred / Dame de Cour
Rang de puissance : A
Domaine de pouvoir : Eau
Avatar : Makima (Chainsawman) / Katherine McNamara
Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart  Katherine-mcnamara

Oh lala
Oh lala
Oh lala que je l'aime déjà.

Déjà, le feat, je ne peux que m'allonger au sol et te laisser me marcher dessus. JIM !!! Vraiment, j'adore
Ensuite, mais excuse me ? Les facts ? Le caractère ? La plume ? J'adore, vraiment. Le fait qu'il soit bipolaire, je suis ♥ (et si tu veux une psy à éviter, cc y a Aralia)

Vraiment in love, j'espère qu'on pourra se trouver des liens trop cools et jouer !!!

BIENVENUE
https://tempelhelm.forumactif.com/t227-le-serpent-de-l-eden-aralhttps://tempelhelm.forumactif.com/t279-aralia_grant#2453
Poissons
Ishtar Forbes
Poissons
Lun 26 Sep - 22:55Sujet: Re: Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart
Ishtar Forbes

Informations
Messages : 788
Points : 2417
Âge : 32 ans
Date de naissance : 15 Mars
Situation : Mariée à Alvaro Reyes
Poste/Métier : Cheffe de Ivoryrift
Rang de puissance : S
Domaine de pouvoir : Glace + Guérison
Avatar : Scathatch Skadi (Fate Series) - Eiza Gonzalez (irl)
Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart  Tumblr_inline_p7kx7uzHps1sccn28_250

Bienvenue sur Tempelhelm


J'ai trop hâte de voir la dynamique Dyomyre et Jules en rp ce que ça va donner en dehors des fiches
Viens on se tape dans la basse cité je t'attends
J'ai bcp aimé la fiche en tous cas et il me tarde de voir comment le personnage va évoluer instable comme il semble l'être
Bienvenue parmi nous !!
(petite note au passage mais les hôtels du coup sachant qu'on est dans un huis-clos c'est pas vraiment pour les touristes mais on peut les imaginer pour les gens qui travaillent dans un quartier + loin de leur domicile, ou pour passer une nuit avec une aventure, or whatever ; en tous cas y a peu de gens "de passage" en ville puisqu'il n'y a que la ville et pas moyen d'en sortir hihi)

Rang de puissance accordé : C

Te voilà validé !
Prends bien soin d'aller te recenser dans ce sujet afin d'être ajouté aux listings.

Dès lors que ce sera fait, tu pourras créer la page Freeden de ton personnage et commencer à RP.

Les demandes de liens et de RP sont à retrouver dans les channels #recherche-rp et #recherche-liens du discord.

Amuse-toi bien sur Tempelhelm !
https://tempelhelm.forumactif.com/t17-drowning-in-emotions-therehttps://tempelhelm.forumactif.com/t30-ishtar_forbes
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart

Informations

Jules-Augustin Ambroise » Right from the start you take it to heart

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Tempelhelm :: Hors RP :: Archives :: Fiches abandonnées-